17 mai 2011
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scène de la vie courante dans un petit village du Bangladesh
dans ces pays pauvres où la mortalité infantle reste très élevée, l'hygiène revêt une importance primordiale pour la santé; 3 fois par jour, les mamans se rendent à la rivière ou, lorsqu'il y en a un, au point d'eau du village pour laver avec application les jeunes enfants qui vivent souvent nus et se trouvent exposés à toutes sortes de maladies véhiculées par les poux, les insectes, les animaux.
Les médecins sont rares et les infirmières qui passent 1 ou 2 fois par mois n'ont guère de moyens.
Les ONG sont peu nombreuses, manquent de moyens et gèrent surtout les campagnes de vaccination.
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3 octobre 2009
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un shadû nous accueille dans sa chapelle
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19 septembre 2009
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22 juin 2008
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un petit restaurant sympa dans un village
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14 mars 2008
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Bangladesh
9 octobre 2007
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Bangladesh; des centaines de bateaux de ce type parcourent Gange et Brahmapoutre quotidiennement avec 4 ou 500 personnes à bord; il y a au moins un naufrage par mois et les gens ne savent pas nager.
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17 septembre 2007
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25 janvier 2007
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12 janvier 2007
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au Bangladesh, l'un des pays les plus pauvres du monde, en période de récolte du riz, les cyclopousses sont utilisés pour le transport de la paille de riz car les engins motorisés, camions, tracteurs, sont encore rares.
Les gens se déplacent en bateau sur les nombreuses rivières, le Gange et le Brahmapoutre notamment qui se rejoignent au niveau du golfe du Bengale près de Dacca, la capitale.
En saison des pluies, le seul moyen de se déplacer, c'est d'emprunter les voies fluviales car les routes disparaissent, emportées par les eaux.
Les crues, ces dernières années ont été particulièrement meurtirères; le réchauffement de la planète et la pollution y sont probablement pour beaucoup.
ces bateaux sont très vétustes, lourdement chagés et de nombreux naufrages meurtriers sont constatés tous les ans.
En effet, il y a souvent 600 à 800 passagers sur ces vieux rafiots et personne ne sait nager.
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